La province du Bas-Uelé, la deuxième plus vaste de la RDC après la Tshopo selon le démembrement constitutionnel de 2015 est l’une la plus cosmopolite de notre pays et a une vocation politique et économique qui va loin au-delà de ses frontières nationales.

Les exploitations agricoles d’huile de palme, de caoutchouc, de café de la province du Bas-Uelé anciennement district ainsi que l’exploitation aurifère constituent, la manne économique déterminante pour la construction infrastructurelle et industrielle.

La grandeur et la prépondérance de la province du Bas-Uelé sur l’échiquier national ne pouvant faire l’objet d’une moindre équivoque, les populations, leurs représentants élus ainsi que les élites de cette partie du pays sont appelés à saisir dans sa profondeur l’importance et les dimensions économico-politique, internationale et historique de leur entité.
Non juste pour s’enorgueillir, mais d’abord et surtout pour une prise de conscience à la fois individuelle et collective de la responsabilité du leadership qui échait à cette grande province.

Afin de faire, une fois pour toutes, et pour mériter de la nation, le choix :
1. Du sérieux et de l’excellence dans leur quotidien;
2. Du travail productifs mais assidu et abondant;
3. Du respect des droits humains et des biens communautaires ;
4. Du devoir de la solidarité communautaire et de la convivialité fraternelle; et
5. De l’exigence de la paix, de l’hospitalité et des bonnes mœurs dans la société.

Ceci est une exigence sacrée vis-à-vis de toute la nation, vu la vocation de la Province du Bas-Uelé au sein du Continent africain, et à l’égard des générations futures dont l’avenir dépend des actes posés aujourd’hui_.

Quel type de gestion et de gouvernance en province du Bas-Uelé au 21e siècle ?

Le constat fait par le candidat Mike MOKENI est sans appel.
Tenez : Mike MOKENI note qu’il est incontestable aujourd’hui que, déjà martyrisée et appauvrie par les guerres de rébellions successives depuis l’indépendance du pays à ce jour, par la zaïrianisation-radicalisation des années 1973 et par les pillages destructeurs des années 1991-1993 ainsi que par les récentes guerres d’agression et incursions des armées et groupes armés étrangers dans son territoire, la province du Bas-Uelé a été l’objet d’un véritable retard sociopolitique et économique suite à une gestion et une gouvernance des plus folkloriques, irrationnelles et inqualifiables.

Or, en dépit de l’insuffisance de moyens propres et de ceux de la rétrocession financière en vue de mener en grande pompe de vastes projets de reconstruction de la province, il est des attitudes managériales qui s’imposent et desquelles on ne peut se dérober si l’on veut conduire la communauté dans les bonnes perspectives et dans l’espérance.

Cette espérance ressentie par le peuple constituera la source de bonheur dans les difficultés partagées, de patience et d’endurance dans l’effort au travail, d’assurance et de fierté dans l’avènement d’une société juste et solidaire au sein d’une grande province, croit dur comme fer le candidat Mike MOKENI.

A suivre…

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