A l’occasion de ses 32 ans d’existence, l’institut supérieur des techniques médicales de Kisangani, cette institution d’enseignement supérieur et universitaire procède à des journées portes ouvertes dans son site de Magopi situé dans la commune de Makiso. Une manière pour le comité de gestion de présenter aux autorités et partenaires ses atouts, défis et perspectives d’avenir.
L’ouverture de ces journées est intervenue ce lundi sous les auspices de la Gouverneure de la province de la Tshopo, Me Madeleine Nikomba Sabangu.

Pour ce faire, Madeleine Nikomba Sabangu félicite le comité de gestion pour le travail de titan qu’il abat et émet le vœu de voir cette institution être classé parmi les meilleurs institutions la ville de Kisangani en particulier, et de la République démocratique du Congo en général.

Pour sa part, Désiré ISETSHA TAWITI directeur général de l’ISTM Kisangani pense que les 32 ans d’existence de son institution augure l’âge de la maturité.
A l’en croire, son comité de gestion s’inscrit dans la logique de recherche de partenariat, d’innovation et de la bonne gouvernance pour booster l’Istm kisangani au développement.

Outre ces aspects poursuit le DG de l’ISTM Kisangani, il est également question d’améliorer la qualité de l’enseignement en palliant avec l’insuffisance des auditoires.

En terme des perspectives, le comité ISETSHA compte doter à l’institution une salle de l’assimilation bien équipé mais aussi de renforcer l’équipement du laboratoire, la dotation des matériels dans la salle d’informatique tel que les ordinateurs afin d’adapter l’enseignement au système LMD.
Au centre hospitalier en construction, il sera question d’ériger le bâtiment d’hospitalisation notamment la salle d’accouchement et les soins intensifs.

S’agissant des enseignants de cette institution, l’octroi des bourses aux Chefs de travaux et assistants reste le chemin de bataille du comité de gestion de l’ISTM Kisangani.

Ses activités de portes ouvertes qui ont débuté ce lundi 29 janvier 2024, se clôtureront le 1 février 2024.

 

Elie Atilaoto

Laisser une réponse