A moins de 40 ans, Trésor Botamba Ahuka, ce jeune congolais résidant à Kisangani chef-lieu de la province de la Tshopo se taille un chemin hors pair.
Lui qui fait la fierté de sa famille et de ses proches, Trésor Botamba détient un parcours équilibré l’ayant permis de tenir tête haute.
Activiste, journaliste, défenseur des droits de l’homme et actuellement candidat à la députation nationale, Trésor Botamba a pu se former une certaine notoriété autour de sa personnalité et dans chaque domaine de sa vie.
Qui est Trésor Botamba ?
Issu de l’union conjugale de BOTAMBA N’KOY et de KOSO OPANGO, il est le 3e enfants d’une famille de 5 enfants dont il est le fédérateur et trait d’union.
Son père étant pensionné de l’ex compagnie d’aviation Air Zaïre de tristement célèbre, ce qui a permis à celui-ci de grandir dans un environnement modeste.
Détenteur d’un diplôme de licence en relations internationales de l’Université de Kisangani, Trésor BOTAMBA s’était distingué comme étudiant conscient et déterminer pour gagner son pari afin de servir son pays.
Les témoignages de ses enseignants et collègues en dit très long. Se faisant ami de ses enseignants, il a développé autour de lui des stratégies innovantes qui ont trop souvent permis une harmonie entre enseignants et enseignés à tous égards.
En tant que visionnaire, la formation universitaire n’a pas suffi pour Botamba Ahuka Trésor.
En quête d’un background suffisant, il a bénéficié de plusieurs formations notamment sur le journalisme, la logistique et la tenue de caisse, la gestion du personnel ainsi à l’information où il possède une maîtrise de l’outil internet et Excel.
Comme toute personne respectueuse à l’âge adulte, Trésor Botamba est marié à madame ARIDJA AMANI Francine, avec qui il fone un foyer de 4 enfants, tous en vie.
Trésor Botamba, un combattant !
D’aucuns se poseraient la question en quoi ce jeune ambitieux peut être qualifié de combattant.
Nous l’avons souligné ci-haut, le caractère responsable de ce jeune congolais l’a permis d’affronter la vie et travailler même avant la fin de ses études Universitaires. C’est ainsi qu’il a parcouru plusieurs institutions en tant que travailleur, formateur et/ou responsable de service. Son curriculum vitae assez riche en dit long.
Signalons son passage de 2013 à 2022 au sein du Centre International de Formation en Droit de l’Homme(CIFDH/D) en tant que Formateur en Résolution Pacifique des Conflits.
Ici, il a pu accumuler une large expérience qui fait de lui un pacifiste.
L’on se souviendra également de sa brillante émission « Jeunesse Consciente » sur les ondes de la RTIV à Kisangani entre les années 2011 et 2013.
Avec sa masse corporelle, Trésor Botamba ne pouvait manquer d’apporter son coup de main à sécurité des personnes et de leurs biens. Dans ce service combien important, il a eu à superviser entre 2016 et 2020, la maison de gardiennage EKONZO.
Pendant ce temps, entre 2020 et 2022, il est nommé superviseur régional de l’ex province orientale de la société ITEL-RWANDA, fonction qu’il cumule en tant que chargé de communication du groupe BMF qui est l’une des meilleures imprimeries de la ville de Kisangani.
Journaliste reporter, Trésor Botamba a pu œuvrer dans plusieurs médias de la ville de Kisangani notamment au sein de boyoma info et la radio et télévision force des médias (RFM TV) où il a été responsable du site internet (www.rfmtv.net).
Toujours au sein de la société civile, il a coordonné l’ONGD Bon citoyen Bon Gouvernant (BCBG). Il est actuellement le coordonnateur provincial de la Fondation Doudou FWAMBA LIKUNDE LI-BOTAYI.
Avec cette expérience longue d’une dizaine d’années, Trésor Botamba se lance en politique avec une vision claire, celle basée sur la responsabilité des congolais. Aligner comme candidat à la députation nationale, ce nouveau venu en politique et dont ses mains n’ont aucune tâche met la population congolaise en général à l’épreuve et particulièrement celle de la ville de Kisangani, chef-lieu de la vaste province de la Tshopo. Tout à l’invitant d’opérer un bon choix le 20 décembre 2023, son slogan reste : « Nous sommes seuls responsables de notre destin ».
Jean-Claude Fundi.